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 (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash

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Wolfgang S. Orlov

Wolfgang S. Orlov


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MessageSujet: (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash   (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash Icon_minitimeMer 12 Aoû - 0:29






Edward Clash était un homme sympathique, ou presque. Alors qu'il était montré comme étant un homme dangereux et totalement irresponsable, sarcastique, violeur et, en somme, pas très recommandable, Edward Kennedy Clash était en réalité – ou tout du moins avec ses proches – quelqu'un de généreux et sympathique. Tellement sympathique qu'il avait laissé sa femme garder les enfants pendant que lui était sortit en ville, se changer les idées. Edward Clash ne se changeait jamais les idées, il allait en chercher d'autres, plus fraîches. Les mains dans les poches, derrière sa lourde veste de cuir marron, « à l'américaine » comme disait Maïka, Clash s'était arrêté devant une boutique. Au coin de la rue, il y avait une prostituée, mais la vitrine lui semblait plus intéressante. Il jeta un regard à la prostituée qui gloussa. Il aurait pu y aller, mais... il n'avait même pas envie. Pas qu'il était fatigué, non, mais la vitrine lui semblait plus intéressante qu'un petit lot qu'il aurait fallu payer de surplus. Tant qu'à dépenser cent livres, autant bien les dépenser. Il poussa la porte et entra l'intérieur. Le magasin sentait bon l'osier. Sa veste de cuir dégoulinait de pluie, et ses cheveux lui collaient aux tempes, mais il n'y prêtait pas attention. Il se dirigea entre les rayons, un regard calme. Ses lunettes noires cachaient un œil au beurre noir datant de la veille. Une mission qui s'était mal passé, qu'ils disaient. Il s'arrêta devant un petit ensemble rose et blanc. Il eut un sourire. Raven détestait le rose, elle préférait le vert et le bleu. Roselani aimait le rose : c'était une princesse. Sa petite princesse, à lui. Il releva la tête et croisa le regard d'une femme qui lui sourit.

« Vous avez des enfants? Ou... vous en attendez?
- J'en ai treize, il eut un rire, et ma femme en attends encore un. »

La femme resta sous le choc et il détourna aussitôt le regard. Saleté de moldue, pensa t-il, et il tira d'un rayon un ensemble bleu. Raven. Et un ensemble rose, Roselani. Et un ensemble rouge, Haimi. Et d'autres, encore, et encore. Cent livres, cent livres dans des fringues, des cadeaux idiots. Les enfants Clash étaient pourris gâtés, et... ils ne s'en plaignaient pas. Il s'arrêta un instant devant un petit ensemble blanc et pourpre, un ensemble pour le futur petit Clash. Edward eut un sourire et posa le vêtement dans ses bras, allant à la caisse pour payer. Monsieur Clash, payer? Oui. Car avant la tempête, il ne faut jamais faire trop de vague. Il posa le tout et paya en liquide, sans un mot, puis sortit. Il regarda sa montre : il ne rentrerait que dans une demi heure. Maïka se dirait qu'il avait encore été avec une connasse, une de ses filles de basses mœurs, et il en sourirait idiotement, car il adorait la voir jalouse à en crever. Il se dit qu'après tout, il avait le temps d'aller à la librairie pour acheter un livre à Ellis. Il transplana au même moment sur le pré-au-lard et alla chez Fleury&Bott. Il en sortit quelques secondes plus tard, le sac de vêtement dans une main et trois gros livres sous son autre bras. « Magicomystère » pour Ellis, « l'Histoire de Vuk le petit loup » pour Raven et « Dessins des Cartes Chocogrenouilles » pour Roselani, histoire qu'elle ne tapisse plus le mur de dessins. Edward resta quelques secondes sous un porche et baissa la tête, fixant ses pieds, quelques secondes. Une patrouille d'auror passèrent devant lui, parlant, et Edward releva la tête. En temps normal, il se serait arrêté et les aurait tué, mais il était pris par le temps. Ça n'était que partie remise, pensa t-il, et il transplana. Le Manoir des Clash était une immense bâtisse, magnifique manifeste du temps. La multitude des enfants avait poussé le couple à acheter une maison, puis une grande maisson, puis une immense maison, puis un Manoir. De dehors, on entendait déjà les cris surexcités des enfants. Il était dix neuf heures, ils savaient tous que « Papa rentrait du travail », comme si Edward Clash était un père comme les autres. Il se dirigea vers la porte, inspira profondément et poussa la porte, accueillit aussi par douze têtes pimpantes, s'accrochant tous à ses jambes.

« Papaaaa! Haimi m'a volé ma poupée!
- Haaan! C'est même pas vrai! C'est Raven!
- La menteuse! Raven l'est avec Ellis! Rends moi ma poupée!
- Papaaaaa! Elke elle mange les playmobils!
- Papaaaaa! Drake il met des coups de pied à Suri!
- Et Jeff il a priiiiis m'a poupééééée! »

Edward eut un rire et referma la porte. Maïka devait être dans la cuisine avec Kraft – de tous le plus maladroit. Clash donna les livres aux enfants et se dirigea, tant bien que mal, dans la cuisine, traînant derrière lui une nuée de piaillement. Il s'arrêta sur le seuil de la cuisine et regarda Maïka collait deux pansements sur le front de Kraft dont le nez saignait encore. Kraft, Jeff et Drake étaient les triplés infernaux, et tous les jours, un d'eux se blessait. Toujours à faire des conneries. Le père d'Edward Clash, quand il les avait vu, avait souligné qu'ils lui ressemblaient jeune, à Eliott et lui. Edward posa le sac de vêtements sur la table et s'approcha de sa femme, se penchant pour l'embrasser. Tous les enfants se turent, faisant une grimace de dégoût.

« Aaaah! Papa y mange Maman!
- C'est trooooop sale! »

Les théories allaient bon vent parmi les têtes blondes. Edward Clash siffla et tous les enfants se turent, le regardant comme si Dieu venait de tomber sur terre. Clash était un Dieu pour ses enfants, car il était bon avec eux, généreux et compréhensif, bien qu'il savait mettre des barrières là où il fallait. Il s'écarta un peu, laissant le soin à Maïka de regardait à l'intérieur du sac.

« Cadeaux. »

Petit sourire, Edward Clash était fier de lui, comme toujours.



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Maïka Clash

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MessageSujet: Re: (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash   (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash Icon_minitimeMer 12 Aoû - 5:33

( ce n'est vraiment pas super, mais je me rattraperai au prochain promis =D )



    Qui aurait cru que Maika serait une mère aimante ? Peu de gens et surtout sa supposée meilleure amie Clara qui avait fini par trouver plus salaud que son mari. Maika n’avait peut-être pas le meilleur mari du monde, mais il était bien pour elle, au fond. Elle se plaignait de deux choses régulièrement qu’il n’ait pas de capote à chaque fois qu’ils couchent ensemble et de ses connasses – les filles qui se tapent quand il part travailler, même si ce n’est pas toujours ce qu’il fait -. Elle était une des femmes les plus jalouses qui pouvaient exister. Pendant le jour, elle mangeait ses bas en pensant qu’il était peut-être avec une femme qu’elle. Ça la dérangeait vraiment. Pourtant, ses enfants avaient le droit à la même maman, elle était là pour soigner les bobos, superviser le manger – les elfes s’occupent de cuisiner pour tout la bande, puis que quinze bouches à nourrir, en comptant les parents, bien sur, étaient réellement difficile – les occuper et finalement les envoyer se coucher pour la suite, car il y avait encore plusieurs des enfants Clash qui étaient en bas âge. Ellis pouvait s’occuper seul sans l’aide de sa mère qui serait un peu trop dérangeante dans sa bibliothèque emménagé spécialement pour lui dans le grenier. Sa mère interdisait ses frères et ses sœurs d’y aller, il décidait si oui ou non, Roselani et Haimi avait le droit d’y venir. Les jumelles étaient quand même sages, même si Roselani avait tendance à vouloir dessiner sur les murs de la maison, mais Maïka arrivait toujours au bon pour lui en empêcher. La métisse gardait toujours son calme avec ses enfants, même s’il lui arrivait de les punir, mais c’était normal. Il n’y avait rien à craindre, mais elle ne réussissait pas à toujours tout voir. Qui avait volé la poupée de qui ? Qui avait frappé l’autre ? Où était passé les triplés ? Ce qu’une des jumelles faisaient ? Elle n’avait pas des yeux tout le tour de la tête, mais elle essayait de garder le plus d’enfant dans la même pièce où elle pouvait en surveiller. C’est qu’au moment de la sieste qu’elle pouvait se relaxer et préparer la collation de l’après-midi. Elle avait un horaire qu’elle ne suivait pas tout le temps, mais elle savait à l’heure précise où son mari arriverait et ça elle avait terriblement hâte de le voir. Pourquoi ? Elle aimait être dans ses bras.

    La jeune femme a toujours aimé Edward, même s’ils n’étaient pas le couple le plus parfait de la terre, ils étaient bien ensemble. C’est sur que par moment, Edward pouvait devenir violent, mais elle s’y était habituée à la fin. Elle cessait de le faire chier, préférant recevoir baisé et caresse que claque et insulte. Alors quand elle se disputait avec lui, elle finissait par sortir dehors et partait au fond de la cour du manoir pour respirer par le nez pour revenir ensuite à la maison en pleine forme, comme si rien ne s’était passée. Elle se relaxait en fait ne voulant aucun autres accidents indésirables arrivent comme dans le passé. Histoire que Maïka et Edward ont finalement oublié, mais ils ne voulaient tout de même pas que l’histoire se répète. Un soir, l’hawaïenne voulait un règlement de compte avec son mari à propos de ses connasses. Malheureusement, Edward n’était certainement pas de bonne humeur et par un malheureux réflexe il la poussa. Elle alla valser contre une table où elle cogna son ventre. Elle était enceinte et en se cognant, elle le perdit. Évènement malheureux ! Elle ne voulait plus que ça se répète, alors elle préférait en parler moins agressivement pour l’énerver, mais Maïka était jalouse. C’était son mari. Le père de ses enfants. Après, il le faisait avec elle. Elle passait alors, en dernier. Elle sentait leur odeur sur lui. Elle en avait le cœur sur le bord des lèvres. Sérieusement, ça la dégoutait. La métisse demandait donc des faveurs dans le genre d’aller ce nettoyé au moins. Mais passons…

    C’est alors qu’il était l’heure. Edward arriva pile à l’heure et les enfants s’activèrent de nouveau. Elle était dans la cuisine en train de soigner Kraft. Le malheur avait décidé de faire tarzan dans la maison avec ses frères. Maïka l’avait retrouvé au sol bien assommé ayant quelques égratignures sur le front et le nez dégoulinant de sang. Elle avait assis Kraft sur le comptoir où elle se concentrait de lui faire sécher ses larmes et le soigner avec douceur, car il n’aimait pas qu’on le prenne pour une fillette comme il le disait. La métisse promis à son fils de ne rien dire que ça allait être leur petit secret. C’est là qu’elle aperçu son mari qui avait activé les enfants qui étaient moins bavards. Elle le regarda rentrer dans la cuisine où elle se trouvait pour soigner son pauvre petit Kraft. Elle sourit à Edward, ce dernier vint l’embrasser.

    « Aaaah! Papa y mange Maman! »
    « C'est trooooop sale! »

    Maïka eut un léger sourire de satisfaction après le baiser. Elle laissait ses enfants parlés. Ils avaient tant d’imagination que ça ne lui dérangeait pas vraiment. La métisse tenait un sac dans ses mains qu’Edward lui avait donné, mais elle ne s’attendait pas que ça soit pour aller sachant qu’il avait peut-être autres choses pour elle. L’hawaïenne entendit le sifflement que Clash émit pour que ses enfants se taisent. Toute la maisonnée tomba silencieuse. Il finit par dire cadeau après avoir obtenu enfin le silence. Elle ouvrit le sac pour regarder ce qu’il avait à l’intérieur. Elle regarda les vêtements qu’il avait achetés pour les enfants. Maïka releva la tête pour regarder Edward et lui sourit.

    « T’as pensé à lui à ce que je vois ! Et moi tu me réserves… autre chose ? » Elle frotta son ventre avant de sortir le petit ensemble. Elle faisait aussi allusion aux sexes, mais ça c’était un détail qui ne concernait qu’eux. « C’est mignon! » La métisse devait montrer à ses enfants ce que leur père leurs avaient achetés. Elle le ferait plus tard, elle préférait laver les nouveaux vêtements avant que ses enfants les portent. C’était peut-être con, mais pour elle c’était d’une importance capitale. « T’as mangé ? » Sourire maintenant extrêmement forcé, car elle faisait allusion qu’il avait fait joujou avec d’Autres femmes, mais elle ne savait pas ce qu’il avait fait à la place.


Dernière édition par Maïka Clash le Mar 1 Sep - 0:16, édité 1 fois
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Wolfgang S. Orlov

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MessageSujet: Re: (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash   (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash Icon_minitimeMer 12 Aoû - 22:58






« T’as pensé à lui à ce que je vois ! Et moi tu me réserves… autre chose ?
- Bien plus qu'à eux. »

Le sourire qu'affichait Edward ne sous entendait rien et voulait tout dire très explicitement ce qu'il voulait dire. Clash remit ses cheveux en arrière et posa sa lourde main sur la tête de Roselani qui le regardait alors avec des yeux brillants qui voulait dire « donne moi mon cadeau rose » car Roselani avait toujours un cadeau rose. Clash réfléchissait déjà à la mission de demain mais reporta finalement son attention sur sa femme.

« T’as mangé ?
- A ma faim, ria-t-il, et toi, tu veux mangé?
- Mamaaaaaan a déjàààà mangé! »

Edward eut un sourire moqueur et recula de quelques pas en arrière, alors que les enfants se ruaient sur le sac plein de vêtement et de cadeau. Des avions et des soldats pour les triplés, et un peu de tout pour le reste. Un diadème de plastique pour Suri, et tout le reste. Clash se dirigea tout simplement vers le salon, les gamins le suivant comme une nuée de sauterelle. Il alluma la télé et se posa sur le fauteuil qui trônait en face. Son trône, à lui et à personne d'autre. Il s'y assit et la nuée d'enfant se posa devant la télé, anesthésiés et silencieux devant le poste. Il prit la télécommande et regarda les émissions. Sur CNN, un moldu trouvait une balle dans la tête. CNN sorcière, un sorcier retrouvait déchiqueté dans la rue. Une élève de Poudlard disparu sur le Pré-au-Lard : Elladora Konstantine, recherchée. Une battue organisée dans la forêt interdite... appelez au. Zappage. Le soir, il n'y avait jamais rien que les émissions stupides. Il mit la 188 et les enfants restèrent scotcher à la télé. Edward se leva, agacé, et montra la fauteuil du doigt à Ellis qui s'y posa. Le fauteuil du « roi », un prestige immense. Clash se dirigea une nouvelle fois vers la cuisine où Maïka finissait d'essuyer la vaisselle. Clash ferma la porte et se posa sur une chaise, regardant Maïka, fixant ses courbes derrière sa robe légère, un sourire satisfait aux lèvres.

« Tu as fait quoi de ta journée? Tu ne t'es pas trop ennuyé de moi? »

En théorie, Edward ne parlait pas de sa vie personnelle à Maïka, des « missions », et encore moins des sorciers que l'on retrouvait mort un peu partout dans le monde. Il taisait tout cela, même si quelque part, il savait qu'elle savait. Il regarda la porte et soupira :

« Ils n'ont pas été trop infernaux, tous ensemble? Demain matin, je suis convié à une petite fête... demain après midi, on ira les amener à la mer. Et demain soir, on irait bien dîner? »

Un mot lâché au hasard, Edward vivait jour après jour.



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Maïka Clash

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MessageSujet: Re: (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash   (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash Icon_minitimeVen 14 Aoû - 4:49


    « Bien plus qu'à eux. »
    « Je n’en doute pas… » Dit-elle en le regardant rapidement avant de regarder tout autour ses enfants qui regardaient leur père. Elle savait ce qu’il voulait dire, mais elle espérait fortement qu’il ne la fasse pas trop chier ce soir. En plus, elle savait ce qu’il l’attendait ce soir, une nuit avec Edward bien torride, comme d’habitude. Pourtant, elle ne savait pas. Qu’est-ce qu’il lui réservait réellement ? Une nuit dont il profiterait plus qu’elle ou une nuit qu’il lui ferait profiter… ? Maika n’en savait rien. C’était ce qu’il allait lui montrer plus tard dans la soirée pendant que les enfants dorment ou encore demander à Ellis de surveiller ses frères et ses sœurs pendant qu’eux jouent à le papa et à la maman dans leur chambre. Parfois, elle avait l’impression d’être un enfant, puisqu’il la punissait autant qu’un enfant quand elle ne le respectait pas, en fait quand elle ne l’écoutait pas. Super pour une adulte de son âge ! Elle a l’impression d’être au même niveau des enfants par moment, sauf avec un petit plus sous la couette avec lui puisqu’elle n’est pas sa progéniture, mais bien sa femme. Ce n’est pas pour rien qu’Edward Clash s’intéresse à elle, elle a un beau corps ainsi qu’un caractère de chien par moment, mais elle reste sa femme, donc elle se fait régulièrement passer dessus par lui puisqu’elle reste sa femme, accessoirement son jouet sexuel ainsi que mère porteuse.

    « A ma faim et toi, tu veux mangé? »
    « - Mamaaaaaan a déjàààà mangé! »
    « Nan, moi je n’ai pas envie de manger de la saucisse et encore moins envie de me faire brouter. » Elle lui fit un de ses sourires à la manière d’une vraie bitch. Elle était frustrée par la réponse d’Edward. Il en avait eu une dans son lit. Maïka se comportait en parfaite jalouse, mais c’était compréhensible. Elle aimait réellement son mari et le savoir avec une autre la fâchait à un tel point qu’elle ne se contrôlait plus sur ses paroles. Elle était sure qu’il le savait. Elle regarda ses enfants sautés sur leur père. Elle était bien trop énervée pour dire quelques choses sans que ça ne sorte méchamment. Elle ne voulait pas qu’un accident malheureux arrive. C’est toujours la métisse qui finissait par se retrouver au sol ou blesser. Alors elle se fermait détournant le regard et les ignorants presque. Elle se concentrait sur d’autres choses. Elle regarda la vaisselle qui n’était finie. Elle avait décidé de la faire ce soir, car elle s’ennuyait, mais bon. Les enfants ne la laissaient jamais vraiment la finir, car un se blessait, l’Autre se bagarrait, l’autre criait qu’on lui avait brisé ses crayons… C’était les cris, pendant des heures, mais au fond Maïka les aimait tous quand même, même si elle avait l’impression qu’ils préféraient leur père. Edward partit avec tous les enfants écoutés la télévision. Elle alla vers levier pour continuer la vaisselle qu’elle avait commencé plus tôt. Il en restait peu, mais elle devait tout de même finir ce qu’elle avait commencé. Bien vite, elle entendit quelqu’un rentré de nouveau dans la cuisine, ça ne pouvait qu’être Edward, vu qu’il ne criait pas maman en rentrant, en plus ses enfants étaient bien plus bruyant que ça, sauf Ellis, mais ça elle le reconnaitrait même à ça. La métisse sentait le regard de son mari sur elle qui portait une légère robe printanière. Elle continuait la vaisselle en décompressant comme elle le pouvait.

    « Tu as fait quoi de ta journée? Tu ne t'es pas trop ennuyé de moi? Ils n'ont pas été trop infernaux, tous ensemble? Demain matin, je suis convié à une petite fête... demain après midi, on ira les amener à la mer. Et demain soir, on irait bien dîner? »
    Elle se retourna en fronçant les sourcils. « Oui je me suis ennuyée, depuis près de neuf ans que je reste enfermer à m’occuper des petits et être enceinte pour ensuite te voir rentrer triomphant à la maison. En plus, tu me nargues. Tu sais très bien ce que je pense de tes connasses » Elle respira un grand coup. Elle finit la vaisselle restant silencieuse quelques instants, avant de s’essuyer les mains après avoir vidé l’eau de levier. Elle fit volte-face pour le regarder enfin. « Je suis jalouse qu’elle prenne ma place. Je suis dégoutée de penser ensuite que tu viens me voir pour qu’on couche ensemble. Est-ce que tu te protèges avec elle ? Si un jour, tu te prends une maladie Edward ça pourrait avoir de grande conséquence sur moi et les enfants ? Tu crois que j’aimerais qu’on se chope le sida ? » Elle était tellement sérieuse sur ce coup. Elle s’approcha de lui, remonta légèrement sa robe pour venir s’asseoir en califourchon sur Edward. « Veux-tu vraiment voir ta femme, le reste de ta progéniture mourir par une maladie que tu as emmené ici ? » Elle soupira une dernière fois. « Depuis quand tu prévois en avance ? Puis, manger nous deux ensembles ou avec tous les enfants ? » Elle l’embrassa passionnément avant de mettre fin au baiser. « Tu sais que je tiens à toi… et tu joues sur ça pour voir à quel point tu me manques… ! »


Dernière édition par Maïka Clash le Mar 1 Sep - 0:23, édité 1 fois
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Wolfgang S. Orlov

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MessageSujet: Re: (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash   (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash Icon_minitimeSam 15 Aoû - 14:29



Tous les enfants ont une préférence, sur quel parent ils aiment le plus. Ça fait sans doute très mal d'apprendre que son propre enfant préfère son conjoint à soit, mais il fallait se faire une raison : l'enfant savait toujours choisir lequel était le mieux pour lui – à partir d'un certain âge. Edward regarda la tripotée d'enfant devant lui qui fixait la télévision. Seul Ellis restait en dehors, un livre à la main, silencieux comme un cercueil. C'était Ellis, en somme. Edward se releva, ennuyé. Il avait beau avoir l'air d'un papa triomphant et glorieux, il n'en restait pas moins un homme qui n'était à la maison que pour manger, et dormir. Dormir... il ne pourrait pas dormir sans avoir toucher Maïka. Il serra les dents et reprit de la substance, s'affichant avec un large sourire – comme à son habitude – et entra dans la cuisine où Maïka était au dessus de l'évier, faisant la vaisselle. Edward tira une chaise et se posa dessus. Durant toutes ses années, il avait toujours regardé sa femme comme étant la plus jolie de toute, et il devait avouer qu'il en était plutôt fier. Comment d'homme se serait damné pour être à sa place? Il l'ignorait, mais ce qu'il savait, c'est qu'il n'était pas qu'un ou deux, mais sans doute des centaines. Le regard baladeur ne fit même pas ciller May, mais il persista, cherchant à voir si cette fameuse robe printanière lui dévoilerait un peu plus, toujours plus... mais rien. Maïka était fâchée. Il y avait de quoi aller s'excuser – surtout que c'était un mensonge – mais Edward aimait voir l'hawaïenne en colère, prête à lui jeter une assiette sur la tronche au premier mot de travers – ce qu'elle n'aurait jamais fait, de peur de représailles. Il ne se sentait pas réellement fort en faisant cela, mais il en tirait une jouissance extrême, une de celle qui sert l'estomac dans un plaisir immense. Il garda un sourire large, moqueur et arrogant.

« Tu as fait quoi de ta journée? Tu ne t'es pas trop ennuyé de moi? Ils n'ont pas été trop infernaux, tous ensemble? Demain matin, je suis convié à une petite fête... demain après midi, on ira les amener à la mer. Et demain soir, on irait bien dîner? Il avait dit cela d'une voix enjouée.
- Oui je me suis ennuyée, depuis près de neuf ans que je reste enfermer à m’occuper des petits et être enceinte pour ensuite te voir rentrer triomphant à la maison. En plus, tu me nargues. Tu sais très bien ce que je pense de tes connasses. Elle était visiblement très fâchée mais Edward garda son sourire hautain et répondit, au tac-au-tac, alors qu'elle finissait les derniers morceaux de vaisselle :
- T'être fidèle n'était pas dans mes engagements. Tu étais bien contente de m'avoir il y a neuf ans, ne me dis pas qu'aujourd'hui, tu manques de quoi que ce soit? Il arqua un sourcil, ais-je déjà fait quelque chose que tu m'avais proscrit de faire? Ais-je amener une de mes pétasses à la maison? Non. Alors, les réflexions...
- Je suis jalouse qu’elle prenne ma place. Je suis dégoutée de penser ensuite que tu viens me voir pour qu’on couche ensemble. Est-ce que tu te protèges avec elle ? Si un jour, tu te prends une maladie Edward ça pourrait avoir de grande conséquence sur moi et les enfants ? Tu crois que j’aimerais qu’on se chope le sida ?
- Je ne me tape pas n'importe qui, siffla t-il, je ne prends pas la première junkie en manque qui passe. As-tu déjà eu une maladie? Il arqua le sourcil, en neuf ans, aucune maladie, et aujourd'hui, tu t'inquiètes? Connerie, tu dis ça pour me faire culpabiliser. Ce n'est qu'un argument de plus pour que j'arrête d'aller voir ailleurs... alors par pitié, n'implique pas les enfants dedans. Il la regarda s'avancer vers elle, s'assoir à califourchon sur lui et il grimaça, je suis pas vraiment sûr que ce soit une bonne idée que tu te mettes comme ça, sur moi...
- Veux-tu vraiment voir ta femme, le reste de ta progéniture mourir par une maladie que tu as emmené ici ?
- Arrêtes avec tes histoires de maladie, persifla t-il une nouvelle fois, être comme ça, sur moi, et dire ça.. c'est vraiment un tue l'amour. Pire qu'une gaine sur un top model.
- Depuis quand tu prévois en avance ? Puis, manger nous deux ensembles ou avec tous les enfants ?
- Si on passe l'après midi avec les enfants, je pourrais demander à mon père de les garder demain soir, pour qu'on soit tranquille, toi et moi... sa main s'était – instinctivement – posée sur la cuisse de l'hawaïenne, et remontait lentement sur cette dernière, alors qu'il répondait au baiser passionné de la jeune femme.
- Tu sais que je tiens à toi… et tu joues sur ça pour voir à quel point tu me manques… !
- Je suis un grand joueur... j'adore jouer. Ma passion, c'est le keno. »

Il eut un rire et passa son bras autour de la taille de l'hawaïenne, puis se leva, la tenant contre lui, et murmura du bout des lèvres :

« J'ai pas mangé aujourd'hui, j'ai menti... tu me fais à manger? »

Le sourire voulait tout dire, et étrangement... Edward Clash était sérieux, sérieux et taquin à la fois, avec un sourire qui disait explicitement qu'il la voulait, tout de suite, maintenant... mais pas ici. Pas dans la cuisine alors que les enfants étaient juste à côté. Un minimum de savoir vivre que le vieux Clash lui avait enseigné entre deux coups de canne sur la tête.


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Maïka Clash

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MessageSujet: Re: (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash   (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash Icon_minitimeLun 17 Aoû - 5:02

    Maïka était une merveilleuse mère au foyer qui s’occupait très bien de ses petits. Elle les aimait. Ils étaient ses petits rayons de soleil. Ses enfants étaient tous différents, mais elle les aimait autant les uns aux autres. Pourtant, il y avait encore un peu de favoritisme pour l’aîné qui restera toujours son petit prince. Ellis était si différent de ses autres frères et sœurs. Il était si éloigné, mais il était si gâté par sa mère qui se sentait obliger de le faire. La métisse croyait à chaque fois qu’il était fâché contre elle, puisqu’il n’avait pas l’air de voir que Maïka existait. Elle lui avait donc fait une bibliothèque dans le grenier seulement pour lui. Il était le seul à pouvoir y accéder à part s’il désire la compagnie des autres enfants qui peuplent le manoir Clash. Par moment, l’hawaïenne montait au grenier pour regarder Ellis lire, mais il ne la regardait aucunement. Elle avait l’impression qu’il ne l’aimait pas. Savait-il pour ce qui s’était passé quelques mois après sa naissance ? Qu’elle a du le délaisser de force pour aller finir ses études à Salem. Peut-être qu’il lui en voulait ? Elle devait arrêter de croire ça, Ellis était ainsi. Il ne parlait pratiquement jamais. Pourtant, elle avait l’impression qu’Edward était bien plus proche de son fils, c’était peut-être qu’elle l’avait parti pratiquement six mois sans le voir régulièrement qui avait changé son aspect sur sa mère. La métisse aimerait bien que son fils lui parle une fois, qu’il lui dise qu’il l’aime, mais c’était sûrement trop demandé à un Clash… après tout. En fait, elle aimerait pouvoir avoir une conversation avec ce dernier qui avait l’air à ne pas l’aimer, mais elle se trompait…

    Elle faisait la vaisselle rarement, mais en ce moment, elle avait décidé de la faire. Elle devait se calmer. Elle était bien trop jalouse en ce moment. Elle lancerait tout sur tout le monde qui se trouvait dans le manoir en étant complètement hors d’elle, mais si elle ose lancer un objet en direction d’Edward, elle va se faire punir comme un enfant. Maïka tentait de respirer et se changer les idées. Edward pouvait être réellement chiant. Elle n’avait pas vu son mariage de cette façon quand il l’avait épousé, car elle était enceinte d’Ellis. Pourtant, elle ne regrettait pas. Le seul regret qu’elle avait, c’est qu’elle ne pouvait rien faire pour le changer. Elle aimerait tant avoir l’exclusivité. Elle savait très bien qu’elle ne l’aura jamais puisqu’il se disait malade. Malade de quoi ? Elle n’en avait aucune idée. Il le savait qu’elle aussi avait un problème à propos du sexe, qu’elle voulait toujours plus quand elle n’en avait pas besoin, ce qui donnait au fond qu’elle en voulait deux fois par jour et peut-être même plus. Il rentra dans la cuisine où elle se trouvait en train de faire la vaisselle toujours aussi fâchée, mais elle sentait la colère la quitté peu à peu, même si elle était bel et bien présente. Il resta silencieux, mais elle sentait son regard poser sur elle. La métisse l’ignorait. Elle finit de faire ce qu’elle avait commencé avant de s’essuyer les mains. Une longue discussion sans suivit le laissant répliquer sans rien dire. C’est vrai, elle n’avait pas eu de maladie, mais elle espérait tout de même ne jamais en avoir. Elle ne lui pardonnerait jamais. L’hawaïenne voulait rester aussi longtemps que possible près de ses enfants. Elle s’était assise en califourchon, remontant sa robe pour mieux se placer, sur Edward qui se trouvait sur une chaise. Elle l’avait aussi embrassé, sentant ses caresses… Elle devina tout de suite qu’il avait envie de petite sauterie dans un lit, mais elle ne dit rien. Il passa son bras autour de sa taille avant de se lever. Maïka était maintenant debout collée à Edward.

    « J'ai pas mangé aujourd'hui, j'ai menti... tu me fais à manger? »
    « Non, tu dois le gagné ton mangé. » Elle voulait jouer, mais en même temps, elle voulait tout simplement faire sa chiante, puisqu’il l’avait fait un peu chier. Elle n’avait pas envie de se donner au facilement, même si elle en avait envie. « Puis qui va surveiller les enfants, si nous sommes au lit ? » dit-elle en lui mordant le lobe d’oreille. Elle joua avec le lobe d’oreille de Clash un petit moment sa langue avant de se reculer un tout petit peu. « Tu voudrais connaître, ce qui est sous la robe… » Elle souleva un peu le rebord de sa robe en se penchant pour laisser voir son magnifique décolleté à son mari avant de se remettre debout. « Mais… » Elle lui fit un de ses sourires pervers. « Tu devras trouver comment. »


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Ezechkiel E. Scylence


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Ezechkiel E. Scylence


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MessageSujet: Re: (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash   (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash Icon_minitimeMar 18 Aoû - 1:52



    La plus part des personnes qui connaissent Edward Clash, de loin ou de prêt, vous dirons que c'est un homme violent, abominable, qui parle crûment et qui n'a – sans doute – eut aucune éducation. Clash était loin d'être cela, mais ce genre qui choquer, il l'aimait presque autant que sa femme. Presque. Il la regarda s'asseoir sur lui et comme par réflexe, il posa ses mains sous elle, et la souleva, déjà prêt pour le premier round. Edward et Maïka, c'était tout un monde, c'était une bataille de tous les jours. Il se battait pour ne pas la briser, et elle, elle se battait pour le garder. C'était une guerre constante, habituelle, qui était – au final – devenu un jeu assez sympathique, presque divertissant. Il arqua un sourcil, et dit d'une voix pleine de sous entendu, mutin :

    « J'ai pas mangé aujourd'hui, j'ai menti... tu me fais à manger?
    - Non, tu dois le gagné ton mangé. »

    Il eut un sourire et pencha la tête. La question n'était pas quel était le manger : il savait pertinemment que c'était elle, son dessert. Non, la question était actuellement : comment le gagner? Et dans ce cas là, était il d'humeur ce soir à jouer avec elle? Car si Clash était aimant – plus que pour ses conasses – avec sa femme, il n'en restait pas moins lunatique et un rien pouvait le mettre en rogne et le pousser à dire des mots qu'il regrettait – ou pas – tôt ou tard. Il arqua un sourcil, curieux :

    « Puis qui va surveiller les enfants, si nous sommes au lit ?
    - Ellis peut les surveiller, comme d'habitude... tu sais que c'est pas un problème pour nous. »

    Il eut un petit rire en sentant les dents de Maïka sur son lobe d'oreille et eut un large sourire : elle savait qu'elle perdre à ce jeu, car si Clash était patient – sur certaines choses – d'autres restaient une affaire d'humeur. Fallait-il encore que l'américain soit d'humeur à supporter la petit jeu de l'hawaïenne. Et elle se recula. Il affronta son regard et rapprocha son visage du sien, sans pour autant l'embrasser. Non, trop facile... à savoir qui avait le plus besoin de « manger ».

    « Tu voudrais connaître, ce qui est sous la robe… le regard intéressé de Clash plongea dans le décolleté de sa femme et il accusa le coup avec un sourire appréciateur. Mais… Tu devras trouver comment.
    - Oh mais je sais... »

    Il se dirigea vers le salon, ouvrit la porte, et ordonna à Ellis de surveiller les gamins, qu'aucun ne puisse sortir de la pièce, car les deux devaient discuter de la sortie de demain. Les enfants restèrent fasciner par la télé et le dessin animé qui passer – un mauvais remake de Tex Avery – et Clash referma la porte, se dirigeant vers sa femme et l'attrapa comme un sac à patate, la traînant dans le couloir et monta les marches, sifflotant calmement.

    « Tu le sais pourtant, Maïka, n'est-ce pas? Rien n'arrête Clash. Rien. »

    Il mit un coup de pieds dans la porte de leur chambre et il entra, tenant toujours May par les cuisses sur son épaule, et finalement la jeter sans toutre forme de procès dans le lit. Il alluma la lumière et ferma la porte à clef, puis se retourna vers le lit avec un sourire mutin, amusé par la situation. Il se tenait debout et elle était là, dans sa robe printanière, remontée jusqu'en haut de ses cuisses. Tellement séduisante... bon sang. C'était la seule qui pouvait faire courser aussi vite son sang dans ses veines et Dieu savait que Clash aimait quand ça pulsait entre lui et une paire de belle jambe. Il s'approcha du lit et mit un genoux sur ce dernier, se pencha au dessus d'elle, attrapant son visage entre ses doigts, l'embrassant fougueusement et langoureusement. Pas besoin de mot pour comprendre, pas besoin de mot pour gagner sa sauterie. Besoin de rien d'autre qu'un regard et un petit sourire, et Maïka comprendrait très bien ce que Clash sous entendait. Il rompit le baiser dans un filet de salive qui relié leur deux lèvres, et passa d'une façon provocante sa langue sur ses lèvres dans un petit rire.

    « Sous cette robe, il y a la plus belle femme que je n'ai jamais vu de ma vie. »

    Compliment? Il ne fallait pas croire que Clash en était radin. Le seul problème était qu'il ne disait ce genre de mot qu'au lit, quand ils étaient deux. Deux uniquement.


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MessageSujet: Re: (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash   (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash Icon_minitimeMer 19 Aoû - 22:21

    Maïka était une hypocrite née. Pourtant, elle ne montrait pas ce côté à tout le monde. Son mari avait déjà vu, comment elle pouvait être une bonne actrice, ainsi qu’une hypocrite, mais depuis qu’elle a ses enfants, elle essaye de se comporter le mieux possible face aux autres sorciers ou moldus, mais elle avait déjà sa réputation de faite à Salem. Ceux qui avaient été à Salem pouvaient témoigner bien des choses sur elle. Ils pouvaient dire qu’elle était qu’une fille à papa et à maman qui étaient très bien protégé de tout. C’est vrai que ses parents étouffaient souvent les faux pas de leur fille, mais en ce moment c’était trop tard puisqu’elle s’était mariée à Edward Clash qui était pris pour mauvais garçon - même s’il en était un, il pouvait être bien différent de ce que les gens affirmaient, la métisse pouvait en dire bien des choses sur son mari, mais elle savait qu’il y avait bien pire, alors elle l’appréciait à sa juste valeur, elle savait comment il était -. Maïka avait joué un sale tour à ses parents qui voulaient qu’un mariage de sang-pur d’un garçon de bonne famille, la métisse avait bien joué le jeu avec son fiancé qui l’avait mise enceinte à l’âge de seize ans. Elle les avait trompés carrément. Ce n’est pas qu’elle n’aimait pas ses parents, mais ça restait pour elle ils n’étaient que des sergents qui lui dictaient sa vie qui semblait trop ennuyeuse. Ce n’est pas pour rien qu’elle fut mère très jeune. Elle n’avait pas fait attention à ce qu’elle faisait, mais elle ne regrettait rien, même si le choix était totalement précipité pour le mariage. Pourquoi s’en plaindre ? Elle était bien au fond. Edward fallait essayer de le comprendre, même s’il n’était pas le mari parfait, il faisait des efforts et il n’était pas si mauvais au fond, il essayait parfois de bien faire. Elle ne devait pas oublier que ce dernier aurait pu lui faire bien du mal, elle le connait tout de même son mari depuis le temps qu’elle est avec lui. C’est pour cela qu’elle ne devait pas s’arrêter à ses connasses. Elle devait profiter de ce que son mari lui donnait, elle devait se compter chanceuse, pourtant la jalousie était plus forte que la raison. Par contre en ce jour, elle était réellement mauvaise humeur. Elle était verte de jalousie. En respirant par le nez, elle se rendit compte que sa jalousie était justifiée, mais à la fois injustifiée. Ça faisait près de neuf ans qu’elle savait qu’il couchait de gauche à droite et même avant. Il le lui avait jamais caché. Elle s’était assise sur lui en califourchon dans la cuisine, en parlant de ses peurs d’avoir des maladies, mais en fait en neuf ans, elle n’avait jamais rien eu, mais le jour où ça l’arrivera tout sera mal dans ce manoir. Elle ne répliqua aucunement à ce qu’il avait dit. Elle ne voulait pas d’accident comme dans le passé et avec raison. Elle avait suivi la voie d’un autre chemin qui était plus avantageux pour elle. Maïka avait finit par se faire à l’aider qu’il n’y avait rien pour raisonner Edward Clash. Tout ça se transformant à un jeu des plus pervers. Il ne fallait pas chercher loin entre ses deux là.

    « Ellis peut les surveiller, comme d'habitude... tu sais que c'est pas un problème pour nous. »
    « Je ne sais pas, si un enfant rentrait pendant qu’on joue ? »
    Elle l’avait dit pour ensuite lui mordre le lobe d’oreille sans toutefois lui faire mal. La métisse voulait jouer avec son mari qu’elle savait qu’il était tout propre. Elle n’avait aucun besoin qu’on supplie à genou, c’était juste le but de le chercher et de le mettre au mode de jeu, même s’il n’en fallait pas gros à son mari pour le mettre en cet état. Maïka pouvait s’amuser follement et librement lui demandant tout ce qu’elle voulait au lit de la violence à l’amour, mais pourtant elle n’avait jamais demandé de l’amour. Ce n’était pas drôle dans ce cas et encore moins… hum jouissif pour le jeune couple – si je peux me permette – ils aimaient le sexe et l’amour c’était pour plus tard. Ils recherchaient du plaisir, alors ils n’y allaient pas à moitié sur ce coup là. Mais bon passons pour faire bouger les choses dans ce texte. Elle s’était reculée après avoir lécher – après aussi mordillé son lobe d’oreille – en le cherchant comme une petite garce professionnel. Elle faisait exprès pour qu’il vienne à elle et non le contraire. Elle savait qu’elle en était capable. Après tout ses années, la métisse avait appris sur son mari. Elle lui parla qu’il la connaissait déjà tout sous cette robe et elle n’avait pas tort sur ce point. Elle vit un sourire naître sur le visage d’Edward, elle s’était penchée pour lui laisser le temps d’admirer rapidement. Maïka avait bien le droit d’agir comme une salope devant son mari pour son mari ( Pardon des mots utilisé ). Il n’y avait rien de mal dans ses gestes. Quoique…

    « Oh mais je sais... »
    « Si tu sais… Alors bouges toi un peu, si tu veux gagner » dit-elle avec ce sourire pervers qu’il connaissait certainement que trop bien. Maïka avait toujours ce physique parfait que d’autres auraient voulu garder après la naissance de leurs enfants, mais cette femme avait tout de même accouché plus de treize fois sans avoir de problème de poids. Elle était réellement chanceuse, mais elle devait bien être entrainée avec Edward qui lui fait faire de sport sous la couette à la suite de chaque accouchement. Pourtant, Maïka savait réellement que son mari n’allait pas perdre à leur jeu, c’est pourquoi qu’il alla avertit Ellis de bien garder les autres enfants. Edward donnait tout de même beaucoup de responsabilité à Ellis, mais il était quelqu’un à qui on pouvait faire confiance, déjà jeune. Il revient vers elle et la prit comme un sac en patate sur son épaule. Maïka ne bougeait pas, de toute façon, si elle tentait de fuir, il l’emmènerait tout de même dans leur lit. La métisse éclata de rire en attendant son mari sifflé, elle ne savait pas pourquoi, elle riait, mais ça faisait réellement du bien de rire ainsi. Elle pouvait compter les marches pendant que celui-ci les montait. Elle avait la tête dans le dos de Clash et les pieds qui pendent de l’autre côté.

    « Tu le sais pourtant, Maïka, n'est-ce pas? Rien n'arrête Clash. Rien. »
    « Oui, une seule chose arrête Clash… » Elle entendit la porte claqué, il venait de donner un coup de pied dans cette dernière. Elle finit par être lancée sur le lit. Elle tomba sur le dos ayant plus ou moins les jambes écartées, ayant la robe remonté vers la mi-cuisse. Il partit vers la porte où il ouvrit la lumière et qu’il ferma la porte à clé. Précaution pour aucun enfant rentre dans la chambre pendant qu’ils s’amusent. Ce dernier revint vers le lit en posant un genou pendant qu’elle s’était assise dans le lit. Il prit son visage avant de l’embrasser langoureusement et fougueusement. Maïka répondit avec autant de fougue au baiser. Elle savait que même si elle le faisait patienter, elle perdait. Il était en feu, elle le sentait. La métisse regardait Edward à la suite du baiser.

    « Sous cette robe, il y a la plus belle femme que je n'ai jamais vu de ma vie. »
    « Edward Clash viendrait de me faire un gentil compliment » Dit-elle avec un sourire complice. « Et je sais que tu en as vu des tas des femmes nues. Je trouve ça gentil de ta part. » Cette dernière tira sur le collet d’Edward pour le faire avancer vers elle. Elle voulait se positionner au centre du lit. « C’est quoi tes plans, monsieur Clash ? » Elle lui fit une léchette sur la joue avec un sourire toujours aussi pervers. « Vais-je t’attacher au lit aujourd’hui ? Tu me réserves de la violence et du fun assuré ? » Elle sourire encore une fois. Elle prit la main de son mari tandis que son autre main fit descendre les délicates bretelles pour finalement déposer la main d’Edward sur un de ses seins…


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MessageSujet: Re: (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash   (s) your feelings, i can't help but rape them ; Manoir Clash Icon_minitimeMar 25 Aoû - 11:32


c'est super court, désolée .__. je me rattraperais...

« Sous cette robe, il y a la plus belle femme que je n'ai jamais vu de ma vie. »
« Edward Clash viendrait de me faire un gentil compliment »
« Toujours, une fois sur la couette. » Il eut un petit sourire ronronnant.
« Et je sais que tu en as vu des tas des femmes nues. Je trouve ça gentil de ta part. »
« Mais je suis toujours gentil... » Il la suivit, obéissant presque, mais cherchant surtout à ne pas perdre le contact de leur peau ensemble.
« C’est quoi tes plans, monsieur Clash ? »
« Tout ce qu'il vous siéra, madame Clash... »
« Vais-je t’attacher au lit aujourd’hui ? Tu me réserves de la violence et du fun assuré ? »
« M'attacher au lit? Graouh, mais c'est que ça semble intéressant... mais faudrait il encore pouvoir y arriver, chérie. »

Edward eut un rire qui disparu peu à peu dans un regard fiévreux. Clash était facilement excité, mais les courbes de sa femme restaient celles qu'il préférait parmi toutes. Pourquoi les infidélités? Car il y avait certaine chose qu'il refusait d'infliger à sa femme, certaines « pulsions » qui l'aurait détruite à la longue, et les enfants avaient besoin d'une mère – autant qu'ils avaient besoin d'un père. Il la laissa guider sa peau, calme et patient, et rapprocha son visage du sien, caressant son nez du bout du sien pour finalement venir chercher ses lèvres, tout d'abord tendrement puis finalement plus langoureusement, leur salive se mêlant dans un baiser chaud, sa main caressant la galbe du sein de sa femme, du bout des doigts effleurant son extrémité avec une infinie dextérité – que trop habitué, en quelques sortes. Il se redressa, à genoux devant elle et enleva sa chemise, et se pencha à nouveau au dessus d'elle, venant coller leur deux corps dans un élan de passion, sa bouche quittant ses lèvres pour venir jouer avec son lobe d'oreille, le mordillant, finissant par susurrer à son oreille :

« Profite pendant que je suis faible, sinon tu ne seras plus apte à m'attacher nul part... » Il eut un petit rire et laissa sa femme prendre le dessus. C'était souvent ainsi : il la laissait prendre les rennes au début, mais une fois la bête réveillée, il revenait toujours à la charge et commandait toujours les choses, comme s'il était né pour ça : commander. Il tomba sur le dos dans le lit, et Maïka vint s'asseoir à califourchon sur lui, leur deux bassins si proches qu'Edward émit un petit grognement quand elle retira ses mains de ses hanches pour venir les accrocher aux barreaux du lit. Un lit à barreaux. Ça avait été la première demande d'Edward après le grand écran dans le salon et une chambre pour chaque enfant. À chaque pièce son « chef d'œuvre ». Dans la chambre conjugale, c'était le lit. Finalement, ses poignets se retrouvèrent attacher aux barreaux du lit, mais ce n'était pas handicapent. Loin de là. Il avait toujours les jambes de libre, de quoi pouvoir mouver son bassin comme il le désirait. Il regarda Maïka avec un sourire complice. Il n'aurait accepté cela d'aucunes autres femmes que la sienne, et il avait en elle la plus totale confiance. Elle aurait pu le tuer à ce moment. Lui trancher la gorge ou encore le poignarder, mais l'américain savait qu'elle ne le ferait jamais, car elle était la seule « qui l'aimait vraiment ». Il ferma les yeux en sentant les formes de sa femme contre les siennes, plus pressantes, plus présentes aussi, et il sentit déjà sa virilité réagir aux premiers contacts. Il n'y avait vraiment qu'elle pour le chambouler autant.

« Le petit chaperon va manger le grand loup? »

Sourire amusé, air fièvreux pourtant.

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